UOC Radiologie Sora

L’UOC de Radiologie du PO de Sora réalise des activités de Diagnostic Radiologique pour les patients hospitalisés, provenant du PS ou pour les soignants ambulatoires externes. L’UOC de radiologie mène également des activités dans le domaine du dépistage sénologique, avec une équipe hautement spécialisée.

Il est capable d’effectuer des examens de diagnostic à l’aide des méthodes suivantes, destinées à l’ensemble de la population :

Modalités d’accès

Les prestations de diagnostic pour les patients hospitalisés et affiliés au PS sont assurées 24h/24 sur demande introduite dans le système ris.

Les prestations en régime de convention avec le Service national DE santé ne sont fournies que sur présentation d’une pièce d’identité du médecin demandeur, établie sur le modèle régional approprié, par contact avec les guichets RECUP et/ou le numéro vert régional 803333. Selon le type d’examen, des documents de santé supplémentaires peuvent être demandés au centre régional de récupération.

En plus de l’engagement susmentionné, au moment de l’acceptation, le patient doit être muni de :

  • pièce d’identité appropriée (carte d’identité, permis de conduire ou passeport) en cours de validité ;
  • carte d’inscription au Service national de santé ou code fiscal ;
  • documentation attestant le droit à une éventuelle exemption du paiement de la contribution à la charge de l’assisté (ticket) ;
  • éventuels examens préalablement effectués.

L’accès aux prestations en accord avec le Service national de santé est également ouvert aux patients d’autres régions d’Italie, selon les mêmes modalités et sans autres autorisations.

En tout état de cause, la prestation ne sera fournie, à la seule discrétion du médecin responsable, qu’à la condition que :

  • il n’y a pas de contre-indications à la réalisation de l’examen ou de la prestation thérapeutique requise ;
  • le Patient a scrupuleusement suivi toutes les éventuelles phases préparatoires de l’examen ;
  • le Patient donne, si nécessaire, son consentement éclairé à la réalisation de l’examen.

Aucune utilisation à des fins diagnostiques des rayonnements ionisants impliquant l’exposition de l’embryon et du fœtus n’est autorisée chez la femme enceinte déclarée ou présumée. Il est donc obligatoire pour les patientes d’informer de leur état de grossesse (avéré ou suspecté) tant le personnel de la réception au moment de la réservation et de l’acceptation ultérieure éventuelle, que le personnel médical au moment de l’examen.

Urgences

Les examens de radiologie que le médecin de famille ou un médecin spécialiste demande avec un code prioritaire d’urgence motivée (tout abus sera poursuivi) ont la priorité dans la réservation, l’exécution et la livraison de la réponse.

Exécution

En se présentant au jour et à l’heure indiqués par le pro-mémoire au Secrétariat de Radiologie, la personne assistée sera soumise à la prestation demandée.

L’utilisateur, en cas d’impossibilité de se présenter à l’examen, doit communiquer rapidement son absence, y compris lors de la RÉCUPÉRATION, afin de permettre à d’autres patients figurant sur la liste d’attente de prendre le relais. De même, les éventuels obstacles de la structure publique à la réalisation de l’examen (par exemple en cas de défaillance de l’équipement) lient le service de radiodiagnostic à une communication rapide à l’utilisateur par RÉCUPÉRATION.

Paiement

Le versement des sommes prescrites doit normalement être effectué avant l’examen, en se présentant le jour fixé, dès réception du paiement. La même chose sera faite au bureau des billets, sans attendre ladernière minute (files d’attente possibles), avec le risque de sauter le rendez-vous.

Temps d’attente

Les temps d’attente pour bénéficier de la prestation varient en fonction du type de prestation à effectuer et dépendent de la disponibilité des listes de RÉCUPÉRATION ; le personnel chargé des réservations, en fonction des listes d’attente existantes au moment de la demande, fournit au patient, au cas par cas, des informations précises sur la disponibilité du Centre pour la réalisation de la prestation. En cas d’éventuelle possibilité d’anticiper la prestation, en cas de renonciation d’autres patients, le secrétariat DE RECUP s’occupera d’informer ultérieurement les assistés en liste d’attente.

Retrait des Rapports

Le retrait des rapports de diagnostic varie en fonction du type d’examen et, en tout état de cause, un délai maximum de sept jours ouvrables après la réalisation de l’examen est garanti ; au moment de la réservation, le patient est informé des délais de retrait du rapport.

Le rapport doit être retiré directement par le patient ou par une personne préalablement déléguée en remplissant le formulaire approprié disponible à la réception et muni d’un document de reconnaissance approprié en cours de validité.

Les rapports restent disponibles à la réception du Centre jusqu’à 30 jours à compter de la date prévue pour le retrait ; le non retrait du rapport relatif aux prestations fournies sous le régime de la convention implique la communication nécessaire à l’ASL compétente qui facturera à l’assisté le coût total de la prestation.

Modalités de demande et de retrait des copies des examens

La documentation relative aux examens effectués en hospitalisation ou en ambulatoire peut être fournie à l’utilisateur qui en fait la demande, à titre de copie, après paiement de la copie au guichet Ticket.

Horaires et jours de réception

Le service fonctionne 24 heures sur 24 tous les jours, y compris les jours fériés, avec des horaires d’exécution des examens différents selon le type de demande.

  • Patients à la demande des urgences : tous les jours 24 heures sur 24 ;
  • Patients hospitalisés sur demande interne : de 8h00 à 20h00, sauf les jours fériés, 24 heures sur 24, tous les jours en cas d’urgence ;
  • Patients ambulatoires à la demande du médecin traitant : selon le type d’examen, sur réservation au Recup, de 8h00 à 20h00 hors jours fériés. Les examens TAC sont effectués de 07h00 à 20h00 en semaine ;
  • Accueil : l’acceptation, située au rez-de-chaussée, est dédiée à l’accueil du patient tant au moment de la réservation que de la prestation et du retrait ultérieur du rapport ; elle est également habilitée à fournir aux utilisateurs toutes les informations et les éclaircissements éventuels. L’établissement dispose de plusieurs salles d’attente. Observez les heures d’ouverture suivantes : de 9h00 à 12h00 tous les jours de la semaine pour le retrait des rapports, des copies d’examens et des informations.

Services / Activités fournis

Radiologie conventionnelle

Exemple : le radiogramme du thorax

Qu’est-ce que c’est ?

C’est une enquête qui utilise les rayonnements ionisants pour étudier les structures thoraciques : la cage thoracique avec les côtes, le poumon et la plèvre, les grands vaisseaux du médiastin, le cœur et le petit cercle. La radiographie thoracique a été l’une des premières applications des rayons X et, à cejour, elle représente l’une des investigations fondamentales et les plus fréquemment utilisées dans la pratique clinique. Aucun autre examen, en effet, ne permet d’explorer la poitrine aussi rapidement et dans n’importe quelle situation clinique, même en cas d’urgence, face à un coût et à un risque biologique d’irradiation vraiment modestes.

La technique d’examen a subi une évolution constante, surtout au cours des vingt dernières années ; l’objectif était d’améliorer la qualité des images et de réduire simultanément la dose de rayonnement délivrée au patient : à partir d’un film traditionnel, semblable à un film photographique, l’évolution technologique ouvre maintenant la voie à la radiologie numérique qui facilite l’acquisition d’images d’excellente qualité.

Pourquoi le faire ?

Les indications à l’examen sont multiples : douleur thoracique, difficulté respiratoire, suspicion d’un problème cardio-vasculaire, présence de maladies dans d’autres organes ou districts mais qui peuvent également affecter le thorax, la perspective d’une intervention chirurgicale, le contrôle des patients critiques…

Telles et telles sont les indications sur le radiogramme du thorax, que l’un des problèmes récemment apparus est précisément d’éviter son utilisation indiscriminée lorsque le bénéfice diagnostique et thérapeutique est modeste ou même absent.

Tout à fait particulières les indications au radiogramme chez le patient hospitalisé, souvent modulées par des besoins spécifiques liés à la raison de l’hospitalisation ou aux pratiques diagnostiques et thérapeutiques mises en place pendant l’hospitalisation.

Quand ne le fait-on pas ?

Comme toutes les investigations instrumentales, la radiographie du thorax ne devrait pas être effectuée en l’absence d’une question diagnostique précise : rappelons notamment la nécessité de limiter les examens de routine encore aujourd’hui parfois demandés chez des catégories de patients sans risques spécifiques.

Avant l’examen

Avant l’examen, aucune préparation du patient n’est nécessaire, mais il devra retirer du thorax tout objet radio-opaque (colliers, chaînes) et signaler à l’opérateur qui effectue l’examen la présence de formations cutanées (neiges, verrues) qui peuvent simuler l’existence d’une opacité pulmonaire. Le patient doit informer brièvement l’opérateur qui effectue l’examen du problème pour lequel il se soumet à l’enquête et mentionner toute maladie thoracique antérieure, y compris les événements traumatiques, ou s’il souffre de problèmes cardiovasculaires. Il est souvent très utile – et évite des radiations inutiles – de comparer avec les radiogrammes précédents, qui doivent donc être récupérés par le patient et livrés au moment de l’examen.

Comment se déroule-t-il ?

L’examen est effectué, dans la mesure du possible, en érection. Dans le radiogramme en projection frontale, la partie antérieure du thorax est appuyée à la cassette, le menton légèrement relevé, les bras appuyés sur les côtés avec des coudes déplacés vers l’avant pour éviter le chevauchement des omoplates. Le patient est invité à prendre une profonde respiration et à maintenir l’apnée pendant quelques instants pendant que la radiographie est effectuée. La projection latérale, si nécessaire, s’effectue avec le côté appuyé sur la cassette et les bras levés. Au besoin, il est également possible d’obtenir des radiogrammes sous différentes obliquités, éventuellement sous le contrôle de la radioscopie.

Après l’examen

Il n’y a pas de précaution ou de traitement à suivre après l’examen ; le radiogramme est examiné par le radiologue, qui évalue si l’enquête répond à la question clinique ou s’il est nécessaire d’approfondir le diagnostic radiologique (par exemple, scanner) ou autre (par exemple, examens pneumologiques spécialisés).

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Échographie

Qu’est-ce que c’est ?

L’échotomographie ou échographie est une méthode d’enquête qui produit des images du corps humain à l’aide d’ultrasons (sons à très haute fréquence), grâce à leur réflectivité par les différents tissus corporels : les principes à la base de l’eame sont les mêmes que ceux du radar et du sonar. Les équipements les plus sophistiqués permettent d’analyser plus en détail les ultrasons réfléchis (échos), en obtenant également des informations sur le flux sanguin dans les organes explorés (éco-Doppler, color-Doppler, Power-Doppler).

Dans les conditions de l’examen, le franchissement des tissus par les ultrasons ne produit pas de conséquences biologiques appréciables : pour cette raison, aucun effet nocif imputable à l’échographie n’a été documenté à ce jour, ce qui peut donc être considéré comme un examen sans risque et sans aucune contre-indication.

Pourquoi le faire ?

L’échotomographie peut être utilement utilisée dans l’étude de tous les organes parenchymateux et de certains organes creux (estomac et vessie) dont elle est capable de préciser les altérations structurelles conséquences de nombreuses maladies.

En particulier, l’échographie peut mettre en évidence des nodules de nature différente, à condition qu’ils atteignent des dimensions appréciables (5-10 mm). L’échographie n’est pas indiquée dans l’étude des organes entourés d’os ou d’air (que les ultrasons ne peuvent pas traverser) et doit être précédée d’autres investigations dans certaines conditions (par exemple, dans certains cas, l’échographie du sein doit être effectuée en complément de la mammographie chez les femmes de plus de 35-40 ans).

Avant l’examen

Pour l’étude des organes abdominaux (en particulier le foie et les vésicules biliaires), il est recommandé de suivre, dans les 3 jours précédant l’examen, un régime sans scories (ne pas consommer de légumes et de fruits, de fromages et de boissons gazeuses) et d’observer le jeûne absolu pendant au moins 5 heures avant l’examen (l’eau et les médicaments peuvent être pris librement). Pour l’étude des organes pelviens, en revanche (vessie, utérus et ovaires, prostate), il est nécessaire d’avoir la vessie pleine (avoir fini de boire 1 litre d’eau environ 1 heure avant l’examen). Dans des conditions particulières (étude des organes abdominaux et pelviens chez les patients souffrant de constipation), il est conseillé d’effectuer un lavement de nettoyage. Aucune préparation n’est nécessaire pour tous les autres examens.

Comment se déroule-t-il ?

L’examen n’est ni douloureux ni gênant : le radiologue applique un gel conducteur sur la surface cutanée au-dessus du trait à explorer et y déplace la sonde qui émet/reçoit des ultrasons ; l’examen dure 10 à 20 minutes, pendant lesquelles le patient doit éviter les mouvements et doit, à certains moments et à la demande de l’examinateur, retenir sa respiration.

Après l’examen

Une fois l’examen terminé, le patient ne doit pas suivre de régimes ou de prescriptions particulières et peut immédiatement reprendre son activité normale. Le médecin radiologue peut éventuellement recommander la répétition de l’examen après l’exécution d’une préparation plus scrupuleuse, si celle-ci n’a pas été suffisante.

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Mammographie

Qu’est-ce que c’est ?

C’est une radiographie mammaire particulière qui utilise une faible dose de rayons X, grâce aux équipements modernes et à la sensibilité particulière des films utilisés et des écrans de renforcement. C’est précisément en raison de la faible dose de rayons X qu’il est possible d’effectuer périodiquement des mammographies, sans risques biologiques significatifs (cela permet de répéter l’examen même une fois par an, ils commencent après 40-50 ans selon les cas).

Il ne provoque pas de douleur, mais tout au plus un léger inconfort momentané dû au système de compression délicat sur le sein, nécessaire pour obtenir des images plus nettes et plus précises et pour limiter la dose absorbée.

Pourquoi le faire ?

La mammographie est la principale méthode dans l’étude des seins et permet de diagnostiquer les néoplasmes du sein même à un stade précoce, c’est-à-dire lorsque leur traitement entraîne une rémission complète. Cette technique permet en effet de détecter les tumeurs lorsqu’elles sont encore initiales, de dimensions parfois de quelques millimètres, encore non palpables ni documentables avec d’autres examens médicaux. C’est précisément en raison de la capacité de la mammographie à diagnostiquer de très petites tumeurs qu’elle devient l’examen idéal et indispensable pour le contrôle de toutes les femmes de plus de 40 ans.

Avant l’examen

Il n’est pas nécessaire d’être à jeun le jour de l’examen ou d’avoir observé des règles diététiques particulières les jours précédents. La phase du cycle menstruel n’est pas conditionnée par la qualité des images ; cependant, il est préférable d’effectuer l’examen mammographique en évitant la phase périovulatoire (milieu du cycle) et/ou prémenstruelle si le sein est particulièrement douloureux pendant ces périodes. Il convient d’éviter l’utilisation locale de tout type de cosmétique, d’huile, de crème et surtout de talc, dans les heures précédant l’examen.

Bien que la mammographie utilise de très faibles doses de rayons X, il est conseillé de ne pas l’effectuer pendant la grossesse, en particulier au cours du premier trimestre ; éviter donc l’examen s’il n’est pas possible d’exclure avec certitude une éventuelle grossesse initiale.

Comment se déroule

L’examen mammographique est généralement effectué en position debout, seins nus, en plaçant un sein à la fois sur une étagère spéciale à hauteur réglable. L’appareil détermine une légère compression sur la glande qui améliore la qualité de l’image mammographique. Normalement, deux radiographies sont effectuées pour chaque sein avec des prises de vue de haut en bas et obliques, pour une vision complète de toute la glande. L’examen dure quelques minutes et peut également être complété par une visite spécialisée en sénologie.

Après l’examen

Une fois la mammographie terminée, il n’y a plus de signes ou d’altérations cutanées sur les seins, de douleur et il n’y a pas de recommandation à observer les jours suivants, ni de traitement à faire.

Parfois, le médecin radiologue peut également demander, pour compléter la mammographie, un examen échographique, qui n’est jamais substitutif, mais complémentaire, car ciblé sur les images radiographiques.

Les films radiographiques, document de l’examen effectué, doivent être conservés avec le plus grand soin, non pliés, enroulés, mouillés ou pressés sous des poids et présentés à chaque contrôle médical ultérieur.

L’examen mammographique peut être répété, toujours selon le jugement du médecin traitant, tous les 1-2 ans chez les femmes âgées de 40 à 50 ans et annuellement après 50 ans.

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T.A.C.

Qu’est-ce que c’est ?

C’est un examen diagnostique qui, à l’aide d’un équipement à rayons X complexe, permet de reconstruire sur ordinateur des sections de la région du corps étudiée. D’où le nom de tomographie qui signifie image en coupe.

Pour mieux analyser les structures anatomiques examinées, il est souvent nécessaire de recourir au produit de contraste, qui est administré par voie orale (sous la forme d’une boisson presque sans saveur) et par voie intraveineuse.

L’examen ne provoque aucune douleur, si ce n’est la moindre sensation désagréable liée à l’introduction d’une aiguille dans la veine (nécessaire à l’administration du produit de contraste).

Pourquoi le faire ?

C’est un examen défini de second niveau, c’est-à-dire visant à clarifier des doutes diagnostiques d’une certaine importance, auxquels les examens radiologiques et échographiques plus simples et moins coûteux n’ont pas apporté de réponse définitive. La tomographie informatisée peut être utilisée dans n’importe quel district du corps : elle est généralement capable de visualiser de manière suffisamment complète le squelette et les articulations sans avoir recours au produit de contraste. Pour les autres districts, en revanche, il est très souvent nécessaire d’utiliser le produit de contraste avec administration intraveineuse et, pour l’étude de l’abdomen, également du contraste par voie orale.

Avant l’examen

En fonction du type d’examen, il peut être nécessaire d’effectuer des tests de laboratoire pour documenter la fonction cardiaque (électrocardiogramme), la fonction rénale (créatinine) et obtenir le tracé électrophorétique des protéines plasmatiques.

En cas de recours au produit de contraste, le jour de l’examen, il convient de jeûner pendant au moins 5 heures. En outre, pour les patientes en âge de procréer, l’examen ne doit être effectué que si l’état de grossesse peut être exclu.

Que dire au radiologue ?

Il est très important de signaler les symptômes qui ont conduit à l’exécution de l’examen et de présenter tous les examens radiologiques et échographiques effectués précédemment. Dans le cas où l’examen est répété à distance, il est nécessaire de reporter le TAC précédent. Le médecin radiologue doit pouvoir consulter le résultat de tout autre examen instrumental ou visite spécialisée et – si disponible – du rapport du médecin traitant ou des lettres de démission émises lors d’hospitalisations précédentes. Il est également nécessaire de signaler au médecin radiologue l’existence d’éventuelles allergies et s’il y a eu des réactions de contraste dans le passé.

Comment se déroule-t-il ?

Pour effectuer l’examen, le patient est invité à s’allonger sur le lit, à se détendre et à minimiser les mouvements volontaires. Tout au long de l’examen, il ne dépasse généralement pas 15 minutes. Dans de nombreuses circonstances, il peut être demandé au patient de rester en apnée pendant quelques secondes. Pendant l’examen, le lit sur lequel le patient est allongé est glissé à l’intérieur d’un beignet très large, qui contient l’instrumentation nécessaire à l’acquisition des images. Au cours de l’examen, le mouvement de certains composants à l’intérieur du beignet produit un léger bruit, qui n’est toutefois pas gênant.

Après l’examen

Une fois l’examen terminé, le patient ne doit pas suivre de régime ou de prescription particulière et peut immédiatement reprendre son activité normale.

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Minéralométrie osseuse informatisée (MOC)

Qu’est-ce que c’est ?

La minéralométrie osseuse informatisée (MOC) est une technique moderne d’investigation diagnostique, dont le but est d’évaluer l’état de minéralisation des os.

L’examen permet de mesurer la densité de la masse osseuse en détectant la dégénérescence de la structure. De cette façon, il est possible de faire un diagnostic précoce de l’ostéoporose avant que les fractures ne se produisent.

Pourquoi le faire ?

La MOC DEXA Total Body fournit des informations sur la quantité de graisse corporelle, la masse grasse et la masse osseuse totale. Ces données permettent d’établir essentiellement les caractéristiques physiques du patient.

Cet examen peut donc être utile dans les situations cliniques suivantes : obésité, anomalies du développement, hyperthyroïdie primitive et secondaire, anorexie, dystrophie musculaire, syndrome de Cushing, etc. Grâce à l’évaluation de la composition corporelle, les patients savent immédiatement quels risques ils courent et peuvent suivre l’évolution des traitements auxquels ils sont soumis.

La MOC DEXA de la colonne lombaire est adaptée pour évaluer l’os de type trabéculaire (spongieux), celle du col fémoral pour évaluer l’os de type cortical (compact).

Avant l’examen

Avant l’examen, aucune préparation du patient n’est nécessaire, mais il devra retirer du thorax tout objet radio-opaque (colliers, chaînes).

Il est souvent très utile – et évite des radiations inutiles – de comparer avec d’éventuels radiogrammes antérieurs, qui doivent donc être récupérés par le patient et livrés au moment de l’examen.

Comment se déroule-t-il ?

La MOC est réalisée en très peu de temps, environ trois minutes : le patient est allongé sur un lit où l’instrument d’émission de rayons X, situé sous le matelas, est couplé à un bras mobile qui contient le détecteur de rayons et qui coule le long du corps.

Après l’examen

Une fois l’examen terminé, le patient ne doit pas suivre de régimes ou de prescriptions particulières et peut immédiatement reprendre son activité normale.

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RMN

Qu’est-ce que c’est ?

L’imagerie par résonance magnétique est une enquête fortement indiquée dans l’étude des tissus mous ; c’est une enquête diagnostique qui fournit des images du corps humain très détaillées et très contrastées. En cela, il est similaire à d’autres enquêtes radiologiques, telles que la tomodensitométrie, mais par rapport à celle-ci, il détecte même de très petites différences dans la teneur en eau des organes et des tissus, ce qui permet d’apprécier les moindres différences de structure des zones examinées.

La résonance magnétique, par conséquent, est capable de mettre en évidence même des différences minimes dans la composition et la structure des différents appareils et même des anomalies de ceux-ci, grâce à la très haute résolution de contraste dont elle est dotée ; en fait, elle permet de distinguer très bien à l’intérieur d’un tissu, des altérations minimes qui correspondent souvent à des états pathologiques.

Pourquoi le faire ?

L’IRM est particulièrement utile dans l’étude des maladies du cerveau et de la colonne vertébrale, de l’abdomen et du bassin (foie et utérus), des gros vaisseaux (aorte) et du système musculo-squelettique (articulations, os, tissus mous).

C’est cependant une enquête fortement indiquée pour l’étude des tissus mous (système nerveux, cœur, foie, organes parenchymateux) riches en eau et donc en atomes d’hydrogène et moins pour les structures dures, dépourvues d’eau, telles que l’os. Les derniers développements d’application de l’IRM consistent également en l’étude fonctionnelle de certains organes, tels que la production d’images d’activation du cortex cérébral à la suite de stimuli de divers types ; une autre application récente, la recherche de la présence de substances biologiquement actives ou de métabolites dans les organes ou les appareils, appelée spectroscopie in vivo. Ceci est d’une grande utilité dans les maladies dégénératives, mais aussi néoplasiques et dans les altérations fonctionnelles.

Avant l’examen

En fonction du type d’examen, il peut être nécessaire d’effectuer des tests de laboratoire pour documenter la fonction rénale. En cas de recours au produit de contraste, le jour de l’examen, il convient de jeûner pendant au moins 5 heures.

Que dire au radiologue ?

Il est très important de signaler les symptômes qui ont conduit à l’exécution de l’examen et de présenter tous les examens radiologiques et échographiques effectués précédemment. Dans le cas où l’examen est répété dans le temps, il est nécessaire de rapporter l’IRM précédente. Le médecin radiologue doit pouvoir consulter le résultat de tout autre examen instrumental ou visite spécialisée et – si disponible – du rapport du médecin traitant ou des lettres de démission émises lors d’hospitalisations précédentes. Il est également nécessaire de signaler au médecin radiologue l’existence d’éventuelles allergies et s’il y a eu des réactions au produit de contraste dans le passé.

Comment se déroule-t-il ?

L’examen consiste en plusieurs scans, chacun d’une durée d’environ cinq minutes, avec une courte pause entre l’un et l’autre. L’ensemble de la procédure a une durée variable en fonction de la partie du corps prise en compte.

  • « vous serez invité à vous allonger sur un lit et nous ferons en sorte que vous vous sentiez à l’aise car vous devrez rester immobile. Ce n’est pas un examen douloureux mais assez bruyant en raison de l’équipement particulier – si cela devait déranger, nous avons à disposition des écouteurs anti-bruit et des bouchons d’oreilles » ;
  • pour des raisons de sécurité, l’accompagnateur n’est pas autorisé à entrer dans la pièce pendant que l’examen est en cours.

Après l’examen

Une fois l’examen terminé, le patient ne doit pas suivre de régimes ou de prescriptions particulières et peut immédiatement reprendre son activité normale.

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Contacts

Le service de radiodiagnostic est situé au rez-de-chaussée du corps C ; il est accessible par l’entrée principale et par l’accès aux cabinets de consultation.

En dehors de l’hôpital, il y a des aires de stationnement publiques réservées aux personnes handicapées, aux brancards et aux premiers secours. En interne, la structure a adopté toutes les mesures nécessaires à l’élimination des barrières architecturales (censeur, rampes de compensation des dénivelés, parcours facilités, salle de bain).

Responsable : M. Carlo Pirolli

Siège Sora

  • Adresse : Hôpital SS : Trinità – Localité San Marciano 03039 Sora (FR)
  • Téléphone Acceptation Radiologie : 0776.8294119
  • Téléphone Service Tac : 0776.8294110
  • Téléphone Service RMN : 0776.8294116
  • Fax : 0776.8294115
  • Courriel : radiologia.hsora@aslfrosinone.it

Dernière mise à jour: 01/04/2022

Pubblicato il: 24/03/2022

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